Échouage Ars en Ré - Ile de Ré - Banc des Portes
Posté : 22 mai 2020, 09:34
bonjour à tous,
Pour joindre l’utile à l’agréable, j’ai profité du pont de l’Ascension pour sortir en mer et faire un échouage. Je voulais changer les anodes et voir si je pouvais passer la saison sans carénage. En effet à l’issue du confinement l’embouteillage est tel sur l’aire de carénage que je n’ai pas envie de me précipiter dans la cohue et perdre un week end de plus de navigation.
Je pensais aller m’échouer dans le fier d’Ars, à la Patache. mais compte-tenu de la hauteur d’eau nécessaire, et du coefficient de 75 pour ce week-end, c’était compromis. J’ai entrepris de regarder si le banc du bûcheron était le lieu idéal, mais là encore je me suis dit qu’il fallait aussi faire face au courant dans le fier et j’ai préféré être raisonnable ne connaissant pas les lieux.
Je me suis mis à rechercher sur la carte les lieux qui pouvaient sembler adéquates dans les parages. C’est-à-dire ceux qui ne nécessitent pas un coefficient trop important, à l’abri du clapot et du courant. J’ai trouvé mon bonheur au banc des Portes entre la plage de la Loge et la plage de l’anse du Fourneau, devant la forêt domaniale de Trousse Chemise. Tout compte fait j’aurai pu me rapprocher à 10 mètres de la plage au lieu de 100 mètres car l’estran typique des côtes charentaise est très plat sur une grande distance.
Voici le profil de la côte typique des côtes charentaises :
Ici l’estran n’est pas vaseux, d’un sable suffisamment ferme et clair jusqu’à la proximité immédiate de la plage. La mer se retire assez loin. Nous restons trois heures au sec. Cette endroit semble à l’abri des vents de sud à nord-ouest, le courant traversier n’a pas d’incidence. Nous n’avons pas eu à souffrir de clapot et le bateau tosse très faiblement pendant une dizaine de minutes au moment de se poser.
J’ai ainsi pu passer l’ensemble de ma coque au pulvérisateur avec du vinaigre blanc pour tuer toutes les concrétions et les algues qui s’étaient accumulées, j’ai enlevé 1 kg d’huîtres sur mon embase et mon hélice, changé mes anodes et pu profiter d’une belle promenade. Je serai resté le temps de 3 échouages sur place.
Pour joindre l’utile à l’agréable, j’ai profité du pont de l’Ascension pour sortir en mer et faire un échouage. Je voulais changer les anodes et voir si je pouvais passer la saison sans carénage. En effet à l’issue du confinement l’embouteillage est tel sur l’aire de carénage que je n’ai pas envie de me précipiter dans la cohue et perdre un week end de plus de navigation.
Je pensais aller m’échouer dans le fier d’Ars, à la Patache. mais compte-tenu de la hauteur d’eau nécessaire, et du coefficient de 75 pour ce week-end, c’était compromis. J’ai entrepris de regarder si le banc du bûcheron était le lieu idéal, mais là encore je me suis dit qu’il fallait aussi faire face au courant dans le fier et j’ai préféré être raisonnable ne connaissant pas les lieux.
Je me suis mis à rechercher sur la carte les lieux qui pouvaient sembler adéquates dans les parages. C’est-à-dire ceux qui ne nécessitent pas un coefficient trop important, à l’abri du clapot et du courant. J’ai trouvé mon bonheur au banc des Portes entre la plage de la Loge et la plage de l’anse du Fourneau, devant la forêt domaniale de Trousse Chemise. Tout compte fait j’aurai pu me rapprocher à 10 mètres de la plage au lieu de 100 mètres car l’estran typique des côtes charentaise est très plat sur une grande distance.
Voici le profil de la côte typique des côtes charentaises :
Ici l’estran n’est pas vaseux, d’un sable suffisamment ferme et clair jusqu’à la proximité immédiate de la plage. La mer se retire assez loin. Nous restons trois heures au sec. Cette endroit semble à l’abri des vents de sud à nord-ouest, le courant traversier n’a pas d’incidence. Nous n’avons pas eu à souffrir de clapot et le bateau tosse très faiblement pendant une dizaine de minutes au moment de se poser.
J’ai ainsi pu passer l’ensemble de ma coque au pulvérisateur avec du vinaigre blanc pour tuer toutes les concrétions et les algues qui s’étaient accumulées, j’ai enlevé 1 kg d’huîtres sur mon embase et mon hélice, changé mes anodes et pu profiter d’une belle promenade. Je serai resté le temps de 3 échouages sur place.